51e colloque de Fanjeaux « Culture religieuse et méridionale : les manuscrits et leur contexte artistique »

51e colloque de Fanjeaux
« Culture religieuse et méridionale : les manuscrits et leur
contexte artistique »
29 juin – 2 juillet 2015

Si les manuscrits méridionaux ont souvent occupé une place importante dans les Cahiers de Fanjeaux- notamment lorsqu’il s’est agi d’étudier le gothique méridional (Cahier 9), la religion populaire (11), la liturgie (17), les prophéties (27), les livres et les bibliothèques (31) – le colloque de 2015 les met pour la première fois au premier plan, en s’intéressant à leur décor et à leur contexte artistique. Uncontexte en mouvement, entre la Catalogne, le Midi et l’Italie, grâce aux mécènes et aux artistes en déplacement ; un contexte varié, défini par leurs détenteurs ou leurs commanditaires : les prélats, les membres des ordres religieux, les milieux juifs ou encore des anonymes. La typologie des livres décorés distinguera les manuscrits liturgiques, dont certains sont notés, les livres de prière chrétiens et juifs, les livres juridiques et des textes spécifiquement méridionaux tels le commentaire du Beatusou le Breviari d’amor. On n’oubliera pas que de nombreux manuscrits ont été victimes de destruction pour ne survivre qu’à travers des fragments. La qualité du décor peint et sa quantité font des manuscrits méridionaux, comme partout ailleurs, des objets d’une valeur culturelle éminente. Parmi les questions qui seront abordées, on s’interrogera sur la possibilité de reconnaître des centres de production et d’identifier des artistes, ainsi que sur les facteurs qui ont gouverné le mouvement et la transmission des manuscrits, en proposant de nouvelles pistes de recherche.

Le programme ici et affiche ici.

Appel à contribution – 3rd International Scientific Symposium « Days of Justinian I »

Call for papers
3rd International Scientific Symposium « Days of Justinian I »
30-31 October 2015, Skopje

The 3rd International Scientific Symposium « Days of Justinian I » is organized by « Euro – Balkan » University, Skopje, Republic of Macedonia and University of Bologna – Ravenna campus – School of Humanities and Cultural heritage, Italy.

The Symposium will be held on 30-31 October 2015 in Skopje. Special thematic strand for this year is: “Byzantium and the Heritage of Europe: Connecting the cultures.”

Presentations and papers that address related issues of the general topic are welcomed, but are not limited to the proposed areas of discussion.

Please contact Petar Stevkovski on pstevkovski@gmail.com or contact@euba.edu.mk for any further questions.

Formulaire d’inscription ici et affiche du symposium ici.

Viva la differenza? Italian Towns in the Early Middle Ages – University of Edinburgh

University of Edinburgh – School of History, Classics and Archaeology
Conference

Viva la differenza?
Italian Towns in the Early Middle Ages

29th – 30th May 2015
Meadows Lecture Theatre
Doorway 4, Old Medical School

Italian towns in the early middle ages, 500-1100
Dr Tom Brown, well-known for his scholarly work on early medieval Ravenna, will be retiring from the History Subject Area in Edinburgh in the summer of 2015. This conference marks Tom’s wide contribution to the study of early medieval Europe, as well as his three decades of service as a lecturer in History at Edinburgh. The conference theme relates to Tom’s enduring interest in the development of urban settlement and culture across early medieval Europe.

Speakers
Dr Ross Balzaretti, University of Nottingham
Dr Trish Skinner, University of Winchester
Dr Enrico Cirelli, University of Bologna
Dr Eddie Coleman, University College Dublin
Dr Roger Collins, Edinburgh
Emeritus Professor Edward James, University College Dublin
Dr Simon Loseby, University of Sheffield
Dr Vivien Prigent, CNRS, Paris
Professor Bryan Ward-Perkins, Oxford

Registration
More information online at:
www.shca.ed.ac.uk/tb-retirement

Affiche
Pour le programme, cliquez ici.

Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine – Créteil

Colloque

Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine

Créteil
10-11 juin 2016

Appel à communication

            Au IIe siècle apr. J.-C., le lexicographe Pollux de Naucratis s’est attaché dans son Onomasticon à réunir les termes permettant de parler d’une façon juste et belle de toutes sortes de sujets, et notamment de la cité. C’est cette section (IX, 6-50) que le séminaire Les mots grecs de la ville antique, porté depuis 2012 par l’Institut de Recherche sur l’Architecture Antique (CNRS, AMU, Université Lumière Lyon 2, UPPA) et labellisé par le labex IMU[1], traduit, commente et illustre. Au travers des mots que Pollux recueille avec le désir de transmettre la tradition littéraire, se dessine une vision des villes grecques de l’Antiquité. Le désir de confronter celle-ci à d’autres conceptions du monde urbain exprimées dans la même langue est à l’origine du présent colloque qui propose de mettre les mots et les discours au cœur des études urbaines.

            Il s’appuie, d’une part, sur les travaux menés sur le vocabulaire architectural grec dès la seconde moitié du xixe siècle[2]. Dans les années 1980-1990, le Λεξικόν αρχαίων αρχιτεκτονικών όρων d’A. K. Orlandos et I. N. Travlos (1986), les Recherches sur le vocabulaire de l’architecture grecque, d’après les inscriptions de Délos de M.-Chr. Hellmann (1992) et le Dictionnaire méthodique de l’architecture grecque et romaine de R. Ginouvès et R. Martin (3 vol., 1985-1992-1998) et récemment le Πολύγλωσσο Εικονογραφημένο Λεξικό Όρων Βυζαντινής Αρχιτεκτονικής και Γλυπτικής de S. Kalopissi-Verti et M. Panayotidi-Kesisoglou (2010) ont bien montré l’intérêt des analyses détaillées de mots isolés. Mais ces quatre publications, qui sont devenues des usuels pour qui s’intéresse aux textes grecs relatifs à l’architecture, visent surtout, pour les deux dernières, à proposer un langage normalisé aux archéologues et, pour les deux premières, à faciliter la lecture des documents antiques et, dans le cas des lexiques d’A. K. Orlandos et I. N. Travlos d’une part et de S. Kalopissi-Verti et M. Panayotidi-Kesisoglou d’autre part, médiévaux. De plus, elles ont pour objets avant tout des éléments d’architecture et non des ensembles. La ville saisie dans sa totalité est absente, excepté dans l’une des dernières sections du Dictionnaire méthodique (vol. 3, p. 172-190),

            D’autre part, le colloque s’inspire de L’aventure des mots de la ville (2010). Dirigée par Chr. Topalov, L. Coudroy de Lille, J.-Ch. Depaule et Br. Marin, cette entreprise collective retrace le cheminement dans l’espace et dans le temps de termes issus de huit langues d’aujourd’hui. Suivant la démarche adoptée dans cet ouvrage, le colloque invite à comprendre les mots non comme de simples étiquettes appliquées plus ou moins arbitrairement aux réalités urbaines, mais comme des outils de leur description, comme le résultat des manières de les percevoir et comme des guides du regard que les Anciens et les Byzantins portaient sur celles-ci. Il s’agit d’étudier le vocabulaire et le langage relatif à la ville dans les territoires hellénophones de l’Antiquité et du Moyen-Âge pour saisir les représentations mentales qui sous-tendent l’usage des mots et que, dans un mouvement inverse mais simultané, ces derniers construisent. Comment les mots de la ville se façonnent-ils ? Comment les mots façonnent-ils la ville ?

            Les mots permettent de décrire, qualifier, catégoriser les villes et les éléments urbains, qu’il s’agisse pour les auteurs de parler de villes réelles, passées et présentes, ou de créer des villes fictives, littéraires ou philosophiques. En partant des manières grecques de dire le monde urbain, on s’interrogera sur la ville comme une entité, sur les éléments qui la composent et sur les typologies, mouvantes, que traduisent les mots et les discours. On pourra examiner les textes où la ville constitue le cadre du récit ou forme l’objet même du propos comme dans les descriptions, les éloges, les réglements urbains. On pourra aussi analyser les mots qui ont trait à la ville dans son ensemble et à son organisation, ceux qui renvoient aux édifices considérés comme caractéristiques de l’urbanité ou à des fonctions proprement urbaines, ceux, enfin, qui permettent de qualifier une ville, ses fondateurs et ses habitants par opposition aux personnes qui résident à la campagne. L’analyse peut se révéler fructeuse si elle porte sur des termes pris isolément, en famille lexicale, dans un champ sémantique ou dans une œuvre.

            Ce colloque, qui porte sur une longue période allant des premiers textes en grec jusqu’à la chute de l’empire romain d’Orient, sera l’occasion de réfléchir aux différentes manières de dire la ville dans le temps. On pourra suivre l’aventure des mots et de leur sens en prêtant attention à la fréquence de leur usage et aux réalités qu’ils recouvrent, selon les contextes, dans un champ lexical ou un champ sémantique particuliers. Peut-on montrer que la naissance du mot atteste la prise de conscience de la chose ? Les changements de mots sont-ils le reflet des changements de choses ? Plus largement, la transformation du langage sur la ville résulte-t-elle de l’évolution spontanée d’un usage liée aux mutations d’une société ou d’une volonté délibérée de catégoriser différemment une même réalité urbaine à travers le temps ?

 

            La réflexion concerne toutes les régions où l’on a parlé la même langue à un moment de l’histoire : le grec ancien, que nous voulons saisir dans la diversité de ses dialectes. Au-delà des différences linguistiques observe-t-on des singularités régionales, locales, que l’adoption de la langue commune, la koinè, n’aurait pas complètement uniformisées ? Lorsqu’ils furent en contact avec d’autres langues, comment les locuteurs hellénophones ont-ils intégré l’exotique ou la nouveauté dans leur lexique pour dire la ville ? Quelles interférences culturelles et linguistiques observe-t-on dans les différents modes d’absorption d’élements d’une autre langue, qu’il s’agisse de translittération, de traduction ou de transferts et de décalques de langues étrangères exportatrices de modèles et d’objets urbains ? Au-delà des langues « barbares » auxquelles les Grecs ont emprunté le « paradis », comment s’est exprimée, dans le monde grec sous domination romaine, la cohabitation entre le grec et le latin dans les manières de désigner la ville et ses éléments ? Inversement, comment des langues étrangères se sont-elles approprié les termes grecs de la ville ?

            On pourra enfin s’interroger sur les milieux dans lesquels sont employés ces mots et sont élaborés ces discours sur la ville. Une même réalité urbaine peut être exprimée différemment selon les intentions et les possibilités culturelles des locuteurs. Comment percevoir dans les textes les mots qui font écho à des catégories communes et ceux qui renvoient à des catégories élaborées dans des milieux restreints ? Voit-on se développer un vocabulaire technique, spécifique aux autorités administrantes ? M.-Chr. Hellmann a montré que le vocabulaire architectural des gestionnaires de la fortune d’Apollon délien se caractérisait par la polysémie, la synonymie, l’usage de la métaphore et l’imprécision. Qu’en est-il pour les mots de ville ? Dans quelle mesure la nature des textes (un éloge, une tragédie, un dictionnaire, un règlement, une inscription honorifique …) induit-elle une façon particulière de dire la ville et de se la représenter ? On pourra aussi se demander si les lieux où sont prononcés les discours, où s’inscrivent les textes induisent des langages différents. Existe-t-il des différences dans les manières de dire la ville selon que le locuteur se trouve en dehors de la ville ou dans son enceinte ? À l’Assemblée, sur l’agora, au théâtre ou dans un tribunal ?

            Les communications, d’une durée de 20 minutes, en français ou en anglais, pourront porter sur tous les territoires hellénophones, des premiers textes grecs à la chute de Constantinople. On prendra en compte toutes les sources textuelles, quels qu’en soient le support et la nature, sans négliger les textes juridiques et techniques. On pourra recourir ponctuellement aux vestiges architecturaux et aux sources iconographiques.

            Si cet appel à communication retient votre attention, veuillez nous proposer un titre provisoire ainsi qu’un résumé de 10 à 20 lignes avant le 1er septembre 2015.

 

Comité scientifique

Vincent Azoulay (Université Paris-Est Marne-la-Vallée, EA 3350 ACP, IUF), Julien du Bouchet (Université Paul-Valéry Montpellier, EA 4424 CRISES), Pierre Chiron (Université Paris-Est Créteil, EA 4395 LIS, IUF), Sophie Gotteland (Université Bordeaux-Montaigne – UMR 5607 Ausonius), Virginie Mathé (Université Paris-Est Créteil, EA 4392 CRHEC), Silvia Milanezi (Université Paris-Est Créteil, EA 4392 CRHEC), Jean-Charles Moretti (CNRS, USR 3155 IRAA), Arietta Papaconstantinou (University of Reading), Liliane Rabatel (CNRS, USR 3155 IRAA), Catherine Saliou (Université Paris 8, HPSS-EA 1571 et UMR 8167, EPHE).

 

Contact :

Virginie Mathé : virginie.mathe@u-pec.fr

 

[1] N. Bresch (IRAA-USR 3155 / CNRS), R. Bouchon (HiSoMA-UMR 5189 / Université Lyon 2), V. Chankowski (HiSoMA-UMR 5189 / Université Lyon 2), C.  Durvye (IRAA-USR 3155 / Aix Marseille Université), S. Gotteland (Institut Ausonius-UMR 5607 / Université Bordeaux Montaigne),  J.-J. Malmary (IRAA-USR 3155 / CNRS), V. Mathé (CRHEC-EA 4392 / Université Paris-Est Créteil), Chr. Mauduit (AOROC- UMR 8546 / ENS Paris), J.-Ch. Moretti (IRAA-USR 3155 / CNRS), C. Palermo (IRAA-USR 3155 / Université Lyon 2), L. Rabatel (IRAA-USR 3155 / CNRS), B. Redon (HiSoMA-UMR 5189 / CNRS), C. Saliou (HPSS-EA 1571 / Université Paris 8 et EPHE) et H. Wurmser (IRAA-USR 3155 / Université Lyon 2).

[2] Th. L. Donaldson, Collection des exemples les plus estimés des portes monumentales de la Grèce et  de l’Italie, 1857 ; H. Blümner, Technologie und Terminologie des Gewerbe und Künste bei Griechen und Römer, 1875-1886 ; E. Fabricius, De Architectura graeca commentationes epigraphicae, 1881 ; A. Choisy, Études épigraphiques sur l’architecture grecque, 1884 ; H. Lattermann, Griechische Bauinschriften, 1908.

Deuxième séminaire international ARTE E LITURGIA NA IDADE MÉDIA – Museu Nacional de Arte Antiga de Lisboa

2º Seminário Internacional | 2nd International Seminar
IMAGENS E LITURGIA NA IDADE MÉDIA
Images and Liturgy in the Middle Age

30 de Maio | May 30 2015
Museu Nacional de Arte Antiga, Lisboa
National Ancient Art Museum, Lisbon

Official languages: portuguese, spanish, french and english

O 2º Seminário Internacional Imagens e Liturgia na Idade Média, organizado pelo Grupo de Estudos Multidisciplinares em Artes do CEAACP (Universidade de Coimbra), pelo Museu Nacional de Arte Antiga (DGPC), e pelo Secretariado Nacional para os Bens Culturais da Igreja integra-se no conjunto de iniciativas do projecto de Pós-Doutoramento (2ª fase) de Carla Varela Fernandes, dedicado à escultura figurativa portuguesa dos séculos XII a XIV, bem como às transferências de conhecimentos, do « saber fazer » e à itinerância artística.

Abrangendo um âmbito cronológico e geográfico mais alargado, este 2º Seminário mantém como principal objectivo a apresentação e a discussão de recentes estudos e reflexões sobre a cultura figurativa medieval, na sua relação com os edifícios para onde as obras foram destinadas e com os rituais litúrgicos. Pretende-se, também, discutir e avançar no conhecimento sobre os meios que proporcionaram que determinada inovação iconográfica ou estética, gerada num local, se « deslocasse » e surgisse noutras geografias, servindo objectivos litúrgicos/devocionais similares.

The 2th seminar Images and Liturgy in the Middle Age, organized by the CEAACP Multidisciplinary Group Study in Arts (University of Coimbra), the National Ancient Art Museum (DGPC), and National Department for Church Cultural Heritage part of the set of project initiatives of Carla Varela Fernandes’ Postdoc (2ª fase) dedicated to study Portuguese figurative sculpture from the 12th to 14th centuries, knowledge transfers, « know how » and artistic itinerancy.

Focusing on a wider chronological and geographical context, this 2nd seminar aims the presentation and discussion of recent studies and reflections on works of medieval art. It is intended to address the medieval images as part of the buildings they were designed for and the liturgical rituals. On the other hand, we’ll try to provide advances in the knowledge on the means as an iconographic innovation or aesthetic generated at a given location « moves » and appears in other geographies, serving similar liturgical/devotional purposes.

PROGRAMA | SESSIONS

09h00    Registo / Entrega de documentação
09h30    Abertura | Welcome

1ª SESSÃO 
Moderador/Chair: Francisco de Macedo (CEAACP-Universidade Coimbra)

09h45    Uma colecção de escultura para uma arquitectura perdida: o núcleo altimedieval de Sines – Paulo Almeida Fernandes (CEAACP-Universidade Coimbra | FCT)

10h15    El arquetipo de los beatos: reflexiones sobre la cultura figurativa altomedieval en la Península Ibérica – Alícia Miguélez Cavero (Universidad de León| IEM-FCSH|Universidade Nova de Lisboa | FCT)

10h45    Debate | Discussion

11h15    Pausa | Coffee Break

2ª SESSÃO 
Moderador/Chair: António Filipe Pimentel (Museu Nacional de Arte Antiga/DGPC)

11h45    El Apóstol está presente: la estatua de Santiago y sus peregrinos en el siglo XIII –   Manuel Castiñeiras González (UAB-Universidad Autònoma de Barcelona)

12h15    Uma imagem românica de S. Bartolomeu do MNAA: questões em torno da estética, iconografia e importância do culto do apóstolo nos anos do Românico –              Carla Varela Fernandes (CEAACP-Universidade Coimbra | FCT)

12h45    Debate | Discussion

13h00    Almoço | Lunch

 3ª SESSÃO 
Moderador/Chair:
Maria Adelaide Miranda (IEM-FCSH/Universidade Nova de Lisboa | FCT)

14h30    L’iconographie du travail et la culture de l’alimentation : élaborations figuratives dans la production enluminée liturgique de Émilie-Romagne au XIIe siècle – Maria Alessandra Bilotta (IEM-FCSH/Universidade Nova de Lisboa | FCT)

15h00    Questões em torno dos Ordinários do Ofício Divino de Alcobaça  Catarina Fernandes Barreira (IEM-FCSH/Universidade Nova de Lisboa | FCT)

15h30    A arte do livro e a liturgia judaica em Portugal no final da Idade Média – Tiago Moita e Luís Urbano Afonso (IHA-Faculdade de Letras da Universidade de Lisboa)

16h00    Debate | Discussion

16h30    Pausa | Coffee-break

 4ª SESSÃO
Moderador/Chair: Maria de Lurdes Craveiro (CEAACP-Universidade Coimbra)

17h00    L’image monumental et le texte. Remarques sur la mécanique épigraphique à la fin du Moyen Âge – Jean-Marie Guilloët (Université de Nantes / Membre de l’Institut Universitaire de France, IUF)

17h30    A colecção de arte medieval no discurso museológico das novas salas de exposição permanente Maria João Vilhena de Carvalho e Anísio Franco (Museu Nacional de Arte Antiga/DGPC)

18h00    Debate e palavras finais / Final discussion and concluding remarks

Organização | Organization

GEMA/CEAACP – Grupo Multidisciplinar em Artes/Centro de Estudos de Arqueologia, Artes e Ciências do Património/Universidade de Coimbra
MNAA/DGPC – Museu Nacional de Arte Antiga/Direcção Geral do Património Cultural
SNBCI – Secretariado Nacional para os Bens Culturais da Igreja

Comissão organizadora

Carla Varela Fernandes
Miguel Soromenho
Sandra Costa Saldanha

Inscrições

O valor da inscrição é de 5€, devendo ser efectuada através do formulário abaixo disponível.
Informações | Information

Rui Almeida (SNBCI)
Tel.: 218 855 481
Fax: 218 855 461

E-mail: imagenseliturgia@bensculturais.pt
Local

Museu Nacional de Arte Antiga
Rua das Janelas Verdes, Lisboa

Formulaire d’inscription: https://www.bensculturais.com/snbci-noticias/763-imagens-e-liturgia