Oxford University Byzantine Society’s 18th International Graduate Conference
Trends and Turning-Points: Constructing the Late Antique and Byzantine World (c. 300 – c. 1500)
26th – 27th February 2015 (Ertegun House, Oxford)
Programme ici.
26th – 27th February 2015 (Ertegun House, Oxford)
Programme ici.
Le colloque international Medieval Europe in Motion 3 poursuit la série de rencontres scientifiques inaugurée en 2013 par l’Institut d’Études Médiévales (IEM) de l’Université Nouvelle de Lisbonne sur la thématique des mobilités artistiques et culturelles en Europe au Moyen Âge. L’objectif principal de ce nouveau colloque, en continuité thématique avec les deux éditions précédentes, est d’analyser les phénomènes de circulation et de mobilité des élites lettrées (clercs, universitaires, praticiens), des enlumineurs, des manuscrits, des textes, des modèles artistiques et des idées liés à la pratique du droit dans le territoire européen avec une attention particulière pour les contrées méridionales (péninsule Ibérique, France du Midi et Italie). La recherche qui soutien l’idée de ce colloque derive du projet de post-doctorat de Maria Alessandra Bilotta, qui vise à mettre en évidence les liens artistiques et culturels entre le Portugal et le reste de l’Europe, avec un accent particulier sur les manuscrits juridiques des régions du sud (de la péninsule ibérique, sud de la France et de la péninsule italienne).
COMITE D’ORGANISATION
Maria Alessandra Bilotta (IEM-FCSH-UNL) – Coordinatrice
Francisco José Díaz Marcilla (IEM-FCSH-UNL) – Organisateur
Mario Farelo (IEM-FCSH-UNL) – Organisateur
SECRETARIAT D’ORGANISATION :
Anabel Moreno (Universidad de Girona – TEMPLA)
In spite of the striking abundance of extant primary material – over 4000 Greek texts produced in the period between the sixth and fifteenth centuries – Byzantine Epigraphy remains largely uncharted territory, with a reputation for being elusive and esoteric that obstinately persists. References to inscriptions in our texts show how ubiquitous and deeply engrained the epigraphic habit was in Byzantine society, and underscore the significance of epigraphy as an auxiliary discipline. The growing interest in material culture, including inscriptions, has opened 2 new avenues of research and led to various explorations in the field of epigraphy, but what is urgently needed is a synthetic approach that incorporates literacy, built environment, social and political contexts, and human agency. The SPBS Symposium 2016 has invited specialists in the field to examine diverse epigraphic material in order to trace individual epigraphic habits, and outline overall inscriptional traditions. In addition to the customary format of panel papers and shorter communications, the Symposium will organize a round table, whose participants will lead a debate on the topics presented in the panel papers, and discuss the methodological questions of collection, presentation and interpretation of Byzantine inscriptional material.
Panels
Panel One: Collecting and reading inscriptions in Byzantium
Panel Two: Traditions and transitions
Panel Three: Seventh-century epigraphy three ways
Panel Four: Place, placement, paratextuality
Panel Five: The (in)formality of the inscribed word
Panel Six: Material turn
Round Table: SPBS Debate on Byzantine epigraphy
Call for Communications
Academics, research students, and other members of the scholarly community are invited to offer communications – ten minutes papers – that explore any aspect of Byzantine Epigraphy from a textual, visual, historical, religious, social or cultural angle. Abstracts of no more than 300 words of proposed communications, including their titles, should be sent to Ida Toth (ida.toth@history.ox.ac.uk) by 15 January 2016 at the latest.
Registration
Delegates are offered early registration at the following rates:
o Full: £95
o Members of the SPBS: £85
o Students / Unwaged: £45
o From 1 March 2016 rates rise to £105, £95, and £50 respectively
o The fees for one-day registration are £45 (full fee), £40 (Members of the SPBS), and £30 (Students / Unwaged)
o From 1 March 2016, the fees for one day participation are £55, £50 and £40 respectively
Booking & Paying
A booking form will soon be available online, on the website of the History Faculty (Oxford University), with further details of registration and payment.
Les jeudis 18 février, 24 mars, 19 mai et 16 juin 2016
INHA, salle Vasari et salle Jullian
2, rue Vivienne 75002 Paris
En quatre demi-journées, des spécialistes de l’Orient byzantin et de l’Occident latin dialogueront autour de thématiques qui prolongeront la réflexion menée lors de la journée d’étude introductive du 25 septembre 2015. Ce cycle s’inscrit dans le programme de recherche IMAGO-EIKΩN. Regards croisés sur l’image médiévale entre Orient et Occident (Labex RESMED et HiCSA), dans une action collaborative avec le domaine médiéval de l’INHA, porté par Isabelle Marchesin.
PROGRAMME DU CYCLE
Première rencontre : jeudi 18 février 2016, 14h30-17h30, salle Vasari
Thème : L’image dans l’espace sacré : enjeux historiographiques et perspectives
Introduction du cycle : Sulamith Brodbeck et Anne-Orange Poilpré (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
Sharon Gerstel (University of California, Los Angeles) : Images in Churches in Late Byzantium: Reflections and Directions
Jean-Pierre Caillet (université Paris Ouest) : L’image dans l’édifice en Occident médiéval : le potentiel des ouvertures après un siècle de réflexions
Répondant : Ioanna Rapti (EPHE)
Deuxième rencontre : jeudi 24 mars 2016, 14h30-17h30, salle Vasari
Thème : Lumière et éclairage de l’espace cultuel : perception et réception des images
Lioba Theis (Universität Wien) : The Orchestration of Enlightenment: Light in Sacred Space
Nicolas Reveyron (université Lumière Lyon II) : Image et lumière : performance et polychronie
Répondant : Andréas Nicolaïdès (université Aix-Marseille)
Troisième rencontre : jeudi 19 mai 2016, 14h30-17h30, salle Vasari
Thème : Images monumentales et jeux d’échelle : les dynamiques spatiales du lieu de culte
Isabelle Marchesin (INHA) : La mise en réseau des hommes et des artefacts dans l’église Saint-Michel d’Hildesheim
Annemarie Weyl Carr (Southern Methodist University, Dallas) : Across a Crowded Room: Paths of Perception in Cyprus’ Painted Churches
Répondant : Daniel Russo (université de Bourgogne)
Quatrième rencontre : jeudi 16 juin 2016, 14h30-17h30, salle Jullian
Thème : Visibilité et lisibilité du dialogue entre images et inscriptions dans l’espace cultuel
Vincent Debiais (CNRS – CESCM Poitiers) : Absence/silence des inscriptions en contexte liturgique : quelques exemples hispaniques
Catherine Jolivet-Lévy (EPHE) : Inscriptions et images dans quelques églises byzantines de Cappadoce : visibilité/lisibilité, interactions et fonctions
Répondant : François Bougard (IRHT)
Conclusion du cycle : Sulamith Brodbeck et Anne-Orange Poilpré (université Paris 1 Panthéon Sorbonne)
Responsables scientifiques
Sulamith Brodbeck : sulamith.brodbeck@univ-paris1.fr,
Anne-Orange Poilpré : anne-orange.poilpre@univ-paris1.fr
Institut national de l’histoire de l’art
2, rue Vivienne à Paris
(1er étage salle Giorgio Vasari)
11 – 12 décembre 2015
Les femmes de la famille impériale ou royale, impératrices, reines ou « princesses », de la basse Antiquité au Moyen Âge, jouissent d’une position protocolaire souvent assortie de prérogatives et de privilèges. Cette position est le fruit d’un héritage complexe, entre traditions gréco-romaines lentement sédimentées et pratiques germaniques variées. Un atelier sur la figure de la souveraine, entre Orient et occident, viserait, par une suite de rapports de synthèses problématisés, à définir rang et position de la souveraine sur le temps long. Le but est de réserver un certain temps aux discussions et de permettre le dialogue entre antiquisants et médiévistes qui disposent souvent d’une documentation analogue et dont les interrogations sont proches (tout comme, dans deux ateliers précédentsà Grenoble et à Lausanne, hellénistes et romanistes avaient dialogués). On sera sensible aux développements des siècles allant de la basse Antiquité au Haut Moyen Âge et on accordera une attention particulière aux titres, prérogatives, positions protocolaires et honorifiques, capacités juridiques et patrimoniales, de ces femmes situéesdans l’immédiat proximité du sommet du pouvoir.Chaque contributeur essaiera de fournir une sorte de rapport de synthèse sur son époque et de dégager des lignes pouvant être soumises à la réflexion des spécialistes des autres périodes (des cas seront certes invoqués mais sans faire porter toute la communication sur un seul cas traité monographiquement), de manière à faire ressortir les héritages, les traditions, les innovations et les évolutions. Le propos se concentrera sur le devenir de la figure royale sur l’aire de l’Empire romain et de ses marges, afin de mieux étudier les évolutions de la tradition gréco-romaine du statut de la souveraine dans un espace circonscrit et entré en contact avec diverses populations barbares.
Programme ici.