Appel à contribution – Journée doctorale « Histoire de la clandestinité : concept, pratiques, usages politiques »

Appel à contribution
Journée doctorale « Histoire de la clandestinité : concept, pratiques, usages politiques »
le 12 octobre 2015,  Université Paris 8

Vous pouvez trouver l’appel à communication sur le site calenda à l’adresse suivante :
http://calenda.org/328261

Les organisateurs sont particulièrement intéressés par l’étude des prolongements de ce concepts dans des périodes autres que la contemporaine, notamment en histoire ancienne.

Appel à contribution – 3rd International Scientific Symposium « Days of Justinian I »

Call for papers
3rd International Scientific Symposium « Days of Justinian I »
30-31 October 2015, Skopje

The 3rd International Scientific Symposium « Days of Justinian I » is organized by « Euro – Balkan » University, Skopje, Republic of Macedonia and University of Bologna – Ravenna campus – School of Humanities and Cultural heritage, Italy.

The Symposium will be held on 30-31 October 2015 in Skopje. Special thematic strand for this year is: “Byzantium and the Heritage of Europe: Connecting the cultures.”

Presentations and papers that address related issues of the general topic are welcomed, but are not limited to the proposed areas of discussion.

Please contact Petar Stevkovski on pstevkovski@gmail.com or contact@euba.edu.mk for any further questions.

Formulaire d’inscription ici et affiche du symposium ici.

Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine – Créteil

Colloque

Dire la ville en grec aux époques antique et byzantine

Créteil
10-11 juin 2016

Appel à communication

            Au IIe siècle apr. J.-C., le lexicographe Pollux de Naucratis s’est attaché dans son Onomasticon à réunir les termes permettant de parler d’une façon juste et belle de toutes sortes de sujets, et notamment de la cité. C’est cette section (IX, 6-50) que le séminaire Les mots grecs de la ville antique, porté depuis 2012 par l’Institut de Recherche sur l’Architecture Antique (CNRS, AMU, Université Lumière Lyon 2, UPPA) et labellisé par le labex IMU[1], traduit, commente et illustre. Au travers des mots que Pollux recueille avec le désir de transmettre la tradition littéraire, se dessine une vision des villes grecques de l’Antiquité. Le désir de confronter celle-ci à d’autres conceptions du monde urbain exprimées dans la même langue est à l’origine du présent colloque qui propose de mettre les mots et les discours au cœur des études urbaines.

            Il s’appuie, d’une part, sur les travaux menés sur le vocabulaire architectural grec dès la seconde moitié du xixe siècle[2]. Dans les années 1980-1990, le Λεξικόν αρχαίων αρχιτεκτονικών όρων d’A. K. Orlandos et I. N. Travlos (1986), les Recherches sur le vocabulaire de l’architecture grecque, d’après les inscriptions de Délos de M.-Chr. Hellmann (1992) et le Dictionnaire méthodique de l’architecture grecque et romaine de R. Ginouvès et R. Martin (3 vol., 1985-1992-1998) et récemment le Πολύγλωσσο Εικονογραφημένο Λεξικό Όρων Βυζαντινής Αρχιτεκτονικής και Γλυπτικής de S. Kalopissi-Verti et M. Panayotidi-Kesisoglou (2010) ont bien montré l’intérêt des analyses détaillées de mots isolés. Mais ces quatre publications, qui sont devenues des usuels pour qui s’intéresse aux textes grecs relatifs à l’architecture, visent surtout, pour les deux dernières, à proposer un langage normalisé aux archéologues et, pour les deux premières, à faciliter la lecture des documents antiques et, dans le cas des lexiques d’A. K. Orlandos et I. N. Travlos d’une part et de S. Kalopissi-Verti et M. Panayotidi-Kesisoglou d’autre part, médiévaux. De plus, elles ont pour objets avant tout des éléments d’architecture et non des ensembles. La ville saisie dans sa totalité est absente, excepté dans l’une des dernières sections du Dictionnaire méthodique (vol. 3, p. 172-190),

            D’autre part, le colloque s’inspire de L’aventure des mots de la ville (2010). Dirigée par Chr. Topalov, L. Coudroy de Lille, J.-Ch. Depaule et Br. Marin, cette entreprise collective retrace le cheminement dans l’espace et dans le temps de termes issus de huit langues d’aujourd’hui. Suivant la démarche adoptée dans cet ouvrage, le colloque invite à comprendre les mots non comme de simples étiquettes appliquées plus ou moins arbitrairement aux réalités urbaines, mais comme des outils de leur description, comme le résultat des manières de les percevoir et comme des guides du regard que les Anciens et les Byzantins portaient sur celles-ci. Il s’agit d’étudier le vocabulaire et le langage relatif à la ville dans les territoires hellénophones de l’Antiquité et du Moyen-Âge pour saisir les représentations mentales qui sous-tendent l’usage des mots et que, dans un mouvement inverse mais simultané, ces derniers construisent. Comment les mots de la ville se façonnent-ils ? Comment les mots façonnent-ils la ville ?

            Les mots permettent de décrire, qualifier, catégoriser les villes et les éléments urbains, qu’il s’agisse pour les auteurs de parler de villes réelles, passées et présentes, ou de créer des villes fictives, littéraires ou philosophiques. En partant des manières grecques de dire le monde urbain, on s’interrogera sur la ville comme une entité, sur les éléments qui la composent et sur les typologies, mouvantes, que traduisent les mots et les discours. On pourra examiner les textes où la ville constitue le cadre du récit ou forme l’objet même du propos comme dans les descriptions, les éloges, les réglements urbains. On pourra aussi analyser les mots qui ont trait à la ville dans son ensemble et à son organisation, ceux qui renvoient aux édifices considérés comme caractéristiques de l’urbanité ou à des fonctions proprement urbaines, ceux, enfin, qui permettent de qualifier une ville, ses fondateurs et ses habitants par opposition aux personnes qui résident à la campagne. L’analyse peut se révéler fructeuse si elle porte sur des termes pris isolément, en famille lexicale, dans un champ sémantique ou dans une œuvre.

            Ce colloque, qui porte sur une longue période allant des premiers textes en grec jusqu’à la chute de l’empire romain d’Orient, sera l’occasion de réfléchir aux différentes manières de dire la ville dans le temps. On pourra suivre l’aventure des mots et de leur sens en prêtant attention à la fréquence de leur usage et aux réalités qu’ils recouvrent, selon les contextes, dans un champ lexical ou un champ sémantique particuliers. Peut-on montrer que la naissance du mot atteste la prise de conscience de la chose ? Les changements de mots sont-ils le reflet des changements de choses ? Plus largement, la transformation du langage sur la ville résulte-t-elle de l’évolution spontanée d’un usage liée aux mutations d’une société ou d’une volonté délibérée de catégoriser différemment une même réalité urbaine à travers le temps ?

 

            La réflexion concerne toutes les régions où l’on a parlé la même langue à un moment de l’histoire : le grec ancien, que nous voulons saisir dans la diversité de ses dialectes. Au-delà des différences linguistiques observe-t-on des singularités régionales, locales, que l’adoption de la langue commune, la koinè, n’aurait pas complètement uniformisées ? Lorsqu’ils furent en contact avec d’autres langues, comment les locuteurs hellénophones ont-ils intégré l’exotique ou la nouveauté dans leur lexique pour dire la ville ? Quelles interférences culturelles et linguistiques observe-t-on dans les différents modes d’absorption d’élements d’une autre langue, qu’il s’agisse de translittération, de traduction ou de transferts et de décalques de langues étrangères exportatrices de modèles et d’objets urbains ? Au-delà des langues « barbares » auxquelles les Grecs ont emprunté le « paradis », comment s’est exprimée, dans le monde grec sous domination romaine, la cohabitation entre le grec et le latin dans les manières de désigner la ville et ses éléments ? Inversement, comment des langues étrangères se sont-elles approprié les termes grecs de la ville ?

            On pourra enfin s’interroger sur les milieux dans lesquels sont employés ces mots et sont élaborés ces discours sur la ville. Une même réalité urbaine peut être exprimée différemment selon les intentions et les possibilités culturelles des locuteurs. Comment percevoir dans les textes les mots qui font écho à des catégories communes et ceux qui renvoient à des catégories élaborées dans des milieux restreints ? Voit-on se développer un vocabulaire technique, spécifique aux autorités administrantes ? M.-Chr. Hellmann a montré que le vocabulaire architectural des gestionnaires de la fortune d’Apollon délien se caractérisait par la polysémie, la synonymie, l’usage de la métaphore et l’imprécision. Qu’en est-il pour les mots de ville ? Dans quelle mesure la nature des textes (un éloge, une tragédie, un dictionnaire, un règlement, une inscription honorifique …) induit-elle une façon particulière de dire la ville et de se la représenter ? On pourra aussi se demander si les lieux où sont prononcés les discours, où s’inscrivent les textes induisent des langages différents. Existe-t-il des différences dans les manières de dire la ville selon que le locuteur se trouve en dehors de la ville ou dans son enceinte ? À l’Assemblée, sur l’agora, au théâtre ou dans un tribunal ?

            Les communications, d’une durée de 20 minutes, en français ou en anglais, pourront porter sur tous les territoires hellénophones, des premiers textes grecs à la chute de Constantinople. On prendra en compte toutes les sources textuelles, quels qu’en soient le support et la nature, sans négliger les textes juridiques et techniques. On pourra recourir ponctuellement aux vestiges architecturaux et aux sources iconographiques.

            Si cet appel à communication retient votre attention, veuillez nous proposer un titre provisoire ainsi qu’un résumé de 10 à 20 lignes avant le 1er septembre 2015.

 

Comité scientifique

Vincent Azoulay (Université Paris-Est Marne-la-Vallée, EA 3350 ACP, IUF), Julien du Bouchet (Université Paul-Valéry Montpellier, EA 4424 CRISES), Pierre Chiron (Université Paris-Est Créteil, EA 4395 LIS, IUF), Sophie Gotteland (Université Bordeaux-Montaigne – UMR 5607 Ausonius), Virginie Mathé (Université Paris-Est Créteil, EA 4392 CRHEC), Silvia Milanezi (Université Paris-Est Créteil, EA 4392 CRHEC), Jean-Charles Moretti (CNRS, USR 3155 IRAA), Arietta Papaconstantinou (University of Reading), Liliane Rabatel (CNRS, USR 3155 IRAA), Catherine Saliou (Université Paris 8, HPSS-EA 1571 et UMR 8167, EPHE).

 

Contact :

Virginie Mathé : virginie.mathe@u-pec.fr

 

[1] N. Bresch (IRAA-USR 3155 / CNRS), R. Bouchon (HiSoMA-UMR 5189 / Université Lyon 2), V. Chankowski (HiSoMA-UMR 5189 / Université Lyon 2), C.  Durvye (IRAA-USR 3155 / Aix Marseille Université), S. Gotteland (Institut Ausonius-UMR 5607 / Université Bordeaux Montaigne),  J.-J. Malmary (IRAA-USR 3155 / CNRS), V. Mathé (CRHEC-EA 4392 / Université Paris-Est Créteil), Chr. Mauduit (AOROC- UMR 8546 / ENS Paris), J.-Ch. Moretti (IRAA-USR 3155 / CNRS), C. Palermo (IRAA-USR 3155 / Université Lyon 2), L. Rabatel (IRAA-USR 3155 / CNRS), B. Redon (HiSoMA-UMR 5189 / CNRS), C. Saliou (HPSS-EA 1571 / Université Paris 8 et EPHE) et H. Wurmser (IRAA-USR 3155 / Université Lyon 2).

[2] Th. L. Donaldson, Collection des exemples les plus estimés des portes monumentales de la Grèce et  de l’Italie, 1857 ; H. Blümner, Technologie und Terminologie des Gewerbe und Künste bei Griechen und Römer, 1875-1886 ; E. Fabricius, De Architectura graeca commentationes epigraphicae, 1881 ; A. Choisy, Études épigraphiques sur l’architecture grecque, 1884 ; H. Lattermann, Griechische Bauinschriften, 1908.

Appel à contribution – Deserted Villages

Call for Papers

Deserted Villages

 

Proposed Colloquium Session for the 2016 AIA Annual Meeting, San Francisco, CA, January 6-9, 2016

Organizers: Deb Brown Stewart and Kostis Kourelis on behalf of the Medieval and Post-Medieval Archaeology Interest Group, Archaeological Institute of America

Deadline for Submission of Abstracts: March 13, 2015

The Medieval and Post-Medieval Archaeology Interest Group invites proposals for papers on the topic “Deserted Villages” for a colloquium at the next AIA Annual Meeting. Of particular interest are papers that feature post-classical sites (late-antique, medieval, or post-medieval villages) and that address:

– definitions of “village” (archaeological or ethnographic),

– new fieldwork or new interpretations of data,

– research that brings together diverse sources of data, and

– historic preservation concerns.

The selected proposals will shape a fuller abstract for the colloquium.

If you have a suitable paper or idea, please send (1) authors’ names, (2) institutional affiliations, (3) contact information, (4) paper title, (5) approximate length of time for your presentation (no more than 20 minutes), and (6) an abstract (no more than 400 words and conforming to “AIA Style Guidelines for Annual Meeting Abstracts”) by March 13th to Deb Brown Stewartdebbrownstewart@gmail.com

Appel à contribution – The Forty-First Annual Byzantine Studies Conference

THE FORTY-FIRST ANNUAL BYZANTINE STUDIES CONFERENCE

CALL FOR PAPERS

Deadline for abstracts: Wednesday, 1 April 2015

The Forty-first Annual Byzantine Studies Conference (BSC) will be held across multiple institutions in New York City from Thursday evening, October 22, through Sunday afternoon, October 25.

 The conference is the annual forum for the presentation and discussion of papers on every aspect of Byzantine studies, and is open to all, regardless of nationality or academic status. It is also the occasion of the annual meeting of the Byzantine Studies Association of North America (BSANA), conducted by the current BSANA officers:

President: Christina Maranci (Tufts University)
Vice President: Stephen Reinert (Rutgers University)

Secretary: Amy Papalexandrou (Stockton University)
Treasurer: Scott Johnson (Georgetown University and Dumbarton Oaks)
For more information, please see our website:
http://www.bsana.net

We welcome proposals on any aspect of Byzantine studies.

Proposals may be submitted either as individual abstracts or bundled as panels. Proposals consist of a cover sheet with your proposed title, proposed panel information (if part of a panel proposal) and your contact information and, on separate pages, two copies of an abstract of no more than 500 words, formatted and submitted according to the detailed instructions below.

Organized panels may also be proposed; see instructions below.
The abstract is the basis for judging the proposed paper for acceptance. All abstracts, including those bundled for proposed panels, will be reviewed by each member of the Program Committee and accepted on their own merits. Please note that this review is anonymous; all personal information is removed before the abstracts are read. The program chair will group individually submitted papers into sessions, with the expectation that many sessions will be interdisciplinary. The session topics in the final program will depend on the subjects represented in the submissions.

 All proposed papers must be substantially original and never have been published or presented previously in a public forum. Each contributor may deliver only one paper. The Program Committee may give preference to those who did not present a paper at the last BSC.

All abstracts will be reviewed by each member of the Program Committee:

George Demacopoulos (Fordham University), Chair
Anthony Kaldellis (Ohio State University)
Bissera Pentcheva (Stanford University)
Brenda Llewellyn Ihssen (Pacific Lutheran University)
Christina Maranci (Tufts University)

If accepted, the abstract will be published in the Byzantine Studies Conference’s annual

Abstracts of Papers. Submission of the accepted abstract for publication constitutes agreement to present the paper at the conference.

To deliver your paper at the BSC, you must be a member of BSANA in good standing.  To join or renew your membership in BSANA, you can pay your dues
at: http://www.bsana.net/membership_payment.html

Notice of acceptance or rejection will be sent by email by May 15th.

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 The Abstract

The abstract should be no more than 500 words in length and should indicate the paper’s original contribution in sufficient detail and with some indication of the contributor’s conclusions so that the Program Committee can assess its merits. Papers will be limited to 20 minutes in length. Follow the Instructions for Preparation of the Abstract to facilitate its publication in the Abstracts of Papers. BSANA has no staff, and failure to prepare your abstract carefully will make it impossible to publish.

The Cover Sheet

On a separate cover sheet include:
• name
• address
•your preferred academic affiliation (or the designation “Independent Scholar” with city and state of residence); graduate status, if applicable
• phone and fax numbers
• e-mail address that will be active on May 15
• the paper’s title
indication of proposed panel or preferred session (if any)
• indication of any projection or other special facilities needed• statement of whether you would prefer to be notified of acceptance or rejection by post rather than by e-mail

Graduate students must indicate their status on this sheet in order to be eligible for the
Graduate Prize Competition and/or travel subsidy (see below).

Method of Submission

Please submit your proposals by e-mail as described below. The deadline for submission in all cases is 1 April, 2015.

Submissions

The three-part proposal (cover sheet plus 2 copies of abstract) must be submitted as a single e-mail attachment in the form of a MICROSOFT WORD document, with the abstract formatted according to the Instructions for Preparation of the Abstract.

The e-mail should be sent to the BSANA Vice President: Stephen Reinert (bscabstractsubmission@gmail.com)

Greek Fonts

To avoid any problems arising from the use of different Greek fonts, if either the title or the body of your abstract includes Greek, we ask that you submit, in addition to the word document, a second copy of your submission in pdf format.

Alphabets other than Greek should be transliterated.

The submission of a proposal and its acceptance represent a commitment from the contributor to read the paper in person at the BSC. Those who cannot attend must withdraw their papers no later than June 1. Failure to do so may adversely affect your future chances to present papers at the BSC.

For further inquires contact the Program Chair: George Demacopoulos (demacopoulos@fordham.edu)

Local Arrangements. Questions concerning local arrangements may be directed to the chair of the Local Arrangements Committee: Jennifer Ball (Jennball@mac.com)

Instructions for Preparing the Abstract

Basics:

• Maximum word count: 500 words.
Use MICROSOFT WORD.
Margins: one inch at the top and bottom, 0.75 inches at each side.
Font: Times New Roman, 12 point. Line Spacing: Single spaced.

Title and Author
• Title Line(s): Boldface. Centered at the top of the page. Titles may not be longer than two lines.
Capitalize only first letters of words.
Do not put your title in quotation marks; do not underline it.
• Skip one line (i.e., double space) below the title (= above the author line).
• Author Line content: Your name, followed on the same line (in parentheses) by your institution or (for independent scholars) your city.

To avoid ambiguity, you may list city and country.
Please do not give titles or letters representing degrees, orders, etc. Please list only a single, primary institutional affiliation in parentheses.

• Author Line Style & Format: Plain text (not boldface); a single line centered below the blank line following the title line.
• Skip one line (i.e., double space) before the first line of the body of the abstract.

Style Considerations

• If your paper is a study based on a particular manuscript, consider citing the MS in your
abstract title as a help to scholars when they search our abstracts for previous studies of MSS.
• Please follow the Bulletin Codicologique convention for proper citation of manuscripts (in abstract titles or in the body of your abstract).

Abstract Text

• Abstract Text: Flush left (no right-hand margin justification).
Indent first lines of each paragraph five spaces. Leave one empty line between paragraphs.
• No footnotes. If you need to include a citation, put it within your text in parentheses.
• Please do NOT use the future tense (“This paper will investigate…”).
• Your abstract may be edited for grammar and stylistic consistency (e.g., to remove the future tense).
• Italicize titles and words in foreign languages. Quotations and titles in foreign alphabets other than Greek should be transliterated.
• Avoid using tables or diagrams in the abstract. Photographs cannot be reproduced.

 Sending the Abstract

• Your submission should include three items in one Microsoft Word file:
1) A cover sheet with the information requested in the Call for Papers;
2) The abstract formatted as described above;
3) A second copy of the abstract with no Author Line to ensure the anonymous judging of abstracts.

• Submit all three items in a single e-mail attachment with page breaks inserted between items.

E-mail this document to the BSANA Vice President, Stephen Reinert (bscabstractsubmission@gmail.com) on or before 1 April 2015.

Instructions for Panel Proposals

The BSC welcomes proposals for whole panels.
The panel organizer, who may also be a speaker in the panel, prepares the group submission in a single word document to be sent by email. Panel submissions have four parts: (1) the panel title and panel summary (see further below); (2) all abstracts, including speakers’ names; (3) the panel title and panel summary, making sure to omit all mention of the speakers’ names; and (4) all abstracts, with speakers’ names omitted (the anonymous abstracts).

The panel summary will include a summary of the overall topic, the format for the panel (such as a debate, papers followed by a discussion, or a traditional session of papers), and the reasons for covering this topic as a prearranged, whole session. This should be no longer than 300 words. The organizer may also propose a session chair; please note that the session chair cannot also be a speaker in the panel.

The Program Committee shall first decide whether to accept or reject each panel proposal in its entirety based on its summary and contents. Then each paper will be evaluated according to the regular anonymous evaluation procedure established by the BSC. In the event that most but not all the papers in the panel are accepted, the Program Committee will alert the organizer and will make every effort to keep the remaining papers together.

If a panel proposal is rejected, the various component abstracts will be placed in the regular pool of paper proposals, to be accepted or rejected as stand-alone presentations (unless otherwise indicated by the authors of these abstracts).  All participants in the panel (organizer as well as speakers) will be notified of the

Program Committee’s decision in the usual way.

***To deliver your paper at the BSC, you must be a member in good standing. To join or renew your membership in BSANA, you can pay your dues at: http://www.bsana.net/membership_payment.htm